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Un
extrait vidéo de ce film
Nuages
de mots-clés
Titre du Film: Un mauvais fils
Réalisateur |
|
Année |
|
Nationalité |
|
Genre |
Drame |
Durée |
1H50 |
Acteurs principaux |
Patrick DEWAERE, Jacques DUFILHO, Brigitte FOSSEY, Yves ROBERT |
Drame
Réalisation : Claude
Sautet
Distribution : Yves
Robert, Brigitte
Fossey, Jacques
Dufilho, Patrick
Dewaere
France
Durée 110'
1980
Couleur
Après avoir purgé
une peine de prison aux États-Unis pour usage et trafic de drogue,
Bruno retrouve son père à Paris. Ce dernier lui attribue la
responsabilité du suicide de sa mère, mais la réalité
n'est pas aussi simple.
Marginalité des drogués, crise de la famille et des valeurs traditionnelles,
désarroi et courage des êtres, Claude Sautet montre tout cela admirablement.
Date de sortie : 15 Octobre 1980
Claude Sautet
Réalisateur, Acteur, Assistant réalisateur, 1er assistant réalisateur, Scénariste français
Né le 23 Février 1924 à Montrouge (France)
Décédé le 22 Juillet 2000 à Paris (France)
Biographie
Claude Sautet est très tôt été attiré par l'art sous toutes ses formes (sculpture, peinture, comédie, musique, etc.). Jeune homme, il décide d'exercer un métier dans ce domaine. Il est d'ailleurs quelque temps critique musical pour le journal Combat. Son goût pour le Cinéma, il le cultive aux côtés de sa grand-mère, et c'est tout naturellement qu'il entre à l'IDHEC (la FEMIS actuelle). |
Exceptée une expérience avec Claude Autant-Lara (septième assistant sur Occupe-toi d'Amélie en 1949), Claude Sautet ne débute sa carrière dans le Cinéma qu'en 1955, avec Bonjour sourire, une comédie avec Jean Carmet, Annie Cordy et Louis De Funès. Mais ce premier film passe inaperçu, et il lui faudra attendre 1960 et Classe tous risques pour être reconnu comme un metteur en scène important dans le Cinéma français, alors en pleine Nouvelle Vague. Ce film marque la rencontre de Jean-Paul Belmondo, auréolé de son succès dans A bout de souffle et Lino Ventura, pour qui Sautet avait écrit (avec Jean Redon et Frédéric Dard) Le fauve est lache (Maurice Labro, 1959). Le public et la critique sont au rendez-vous, et célèbrent Sautet. |
Son troisième long métrage, L' Arme à gauche (1964) ne connut pas la même fortune, et le plongea dans une période de doute douloureuse, mais féconde. Il en ressortira grandi. Aidé de Jean-Loup Dabadie au scénario, Claude Sautet impose sa patte si caractéristique, faite d'attention méticuleuse aux détails, d'intrigues ciselées et de personnages forts. Il entame alors sa période la plus riche avec Les Choses de la vie (1969). Sautet enchaîne ensuite cinq films parmi les plus aboutis de son auteur : Max et les Ferrailleurs (1971), César et Rosalie (1972), Vincent, Francois, Paul et les autres (1974), Mado (1976) et Une histoire simple (1978). Durant cette période faste, Claude Sautet ne se pas contente de mettre en scène. Fidèle à sa réputation de "script-doctor" (il dépanne les scénaristes en mal d'inspiration). Il est ainsi collaboré à Peau de banane (1963) de Marcel Ophuls, Echappement libre (Jean Becker, 1964), La Vie de chateau (1965), Borsalino 1970 de Jacques Deray et plus tard à Mon ami le traïtre 1988 de José Giovanni. Ses talents de scénariste trouvent dans Les Yeux sans visage 1959 de Georges Franju l'occasion de se déployer et de réaliser des prouesses. |
Malgré le succès, Claude Sautet a l'impression d'être prisonnier de son esthétique. Il cherche un second souffle. Il le trouve le temps d'un film, Un mauvais fils (1980), dans lequel il réunit Patrick Dewaere et Jacques Dufilho. Nimbé de la musique de Philippe Sarde, le film permet à Sautet de s'écarter de l'univers de ses précédentes réalisations. Un univers qu'il réintègre avec Garçon ! (1983), une oeuvre que le metteur en scène avoue ne pas beaucoup apprécier. Sautet aurait-il signé le film de trop ? Le réalisateur le croit et doute, une fois encore. |
Sautet fait alors la connaissance de Jacques Fieschi, remarqué pour son travail sur Police (1985) de Maurice Pialat. Le scénariste insuffle un vent frais au Cinéma de maître qui se croyait trop vieux, usé. Ragaillardi, il réalise Quelques jours avec moi (1988) et Un coeur en hiver (1992). En 1995, Claude Sautet met en scène Nelly et Monsieur Arnaud, qui fait figure de film-testament. Cheveux blancs, barbe taillée, Michel Serrault y apparaît comme un double du réalisateur. La mélancolie et la retenue de Monsieur Arnaud sont celles d'un Sautet qui a baissé le masque, n'ayant plus honte d'exposer ses propres démons au grand jour. Nelly & Monsieur Arnaud parachève l'oeuvre du cinéaste et apparaît comme son testament. |
On doit, avant tout,
remercier la grand-mère de Claude Sautet |
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C'est Jean-Loup Dabadie
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Mado |
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Claude Sautet |
Bruno Calgagni |
Patrick Dewaere
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René Calgagni |
Yves Robert
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Catherine |
Brigitte Fossey
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Adrien Dussart |
Jacques Dufilho
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Madeleine |
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André |
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Le psychologue |
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Serge |
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Le commissaire à Roissy |
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Scénariste |
Claude Sautet
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Producteur |
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Production |
Sara Films, FranceAntenne 2, France |
Compositeur |
Philippe Sarde
|
Directeur de la photographie |
Jean Boffety
|
Monteur |
Jacqueline Thiédot
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Compositeur
Drame
Réalisation : Claude Sautet
Scénario : Claude Sautet, Daniel Biasini, Jean-Paul Török
Production : Sara Films, SFP Cinéma, Films A2
Directeur de production : Antoine Gannage
Assistant Réalisateur : Jacques Santi, Yvon Rouve
Directeur de la photographie : Jean Boffety
Son : Pierre Lenoir
Décors : Dominique André
Montage : Jacqueline Thiédot
Musique : Philippe Sarde
Sortie salle : 15 octobre 1980
Distribution : Parafrance Films
Couleur
Durée : 110 mn
Pays production : France
Interprètes
:
Patrick
Dewaere (Bruno Calgagni) / Yves Robert (René Calgagni) / Brigitte Fossey
(Catherine) / Jacques Dufilho (Adrien Dussart) / Claire Maurier (Madeleine)
/ André Julien (André) / David Pontremoli (Carlos) / Pierre
Maguelon (commissaire de police de Roissy) / Etienne Chicot (Serge) / Antoine
Bourseiller (psychologue de l'hygiène mentale) / Raouf Ben Yaghlane
(Tailleb) / Jean-Claude Bouillaud (Henri) / Sandra Montaigu (fille au flipper)
/ Dany Baye (fille au flipper) / Franck-Olivier Bonnet (patron de l'entreprise
de transport) / Dominique Briand (officier de police) / Dominique Zardi (contremaître)
/ Mado Maurin (femme d'André) / Sophie Artur (employée de Madeleine)
/ Francis-André Loux (inspecteur Bertrand) / Claudine Delvaux (Suzanne,
patronne du café) / Christiane Cohendy (l'assistante sociale) / Marcel
Portier (l'homme au comptoir) / Guy Di Rigo (un inspecteur à Roissy).
Sujet :
Après
une peine de 6 ans de prison aux États-Unis pour trafic de drogue,
Bruno Calgagni est de retour en France. Bruno se rend chez son père,
René mais sa mère est morte pendant son incarcération.
Les retrouvailles semblent chaleureuses mais brèves. René, est
chef de chantier, et il est absorbé par son travail. Bruno se met à
la recherche d'un emploi et il est embauché dans la librairie d'Adrien
Dussart qui s'attache à réinsérer les toxicomanes. Là,
il fait connaissance de Catherine, une autre employée du libraire et
s'installe chez elle après lui avoir déclaré son amour.
Mais, malgré sa cure de désintoxication, Catherine continue
de se droguer. Bruno tente de l'aider comme il peut avant de retomber lui-même,
un soir de cafard. C'est Dussart qui les fait réagir. Catherine part
alors en cure tandis que Bruno quitte la librairie pour devenir menuisier.
Victime d'un accident de travail, René s'enferme chez lui, aigri et
désabusé. Bruno retourne le voir et se réconcilie avec
lui puis téléphone à Catherine...
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