Les
vidéos sont presque toutes désactivées - The videos are
nearly all disabled
Merci aux sites
de cinéma ci-dessous pour tous les liens hypertextes - Thank you to movie
sites below for all hyperlinks
DVDClassik
- DvdToile - IMDb
- Wikipédia
- LE CINEMA
FRANCAIS - notrecinema.com
- Ciné-ressources
Gaumont - CinéArtistes.com
- Moviecovers
- Le Ciné-club
de Caen - Allociné
- UniFrance - AllMovie
Rotten Tomatoes -
Base de Données de films français
avec images - BDFCI
X |
Channel - YouTube Playlist - YouTube Channel - Dailymotion Playlist - Dailymotion
La
Liste des Artistes et des Musiciens La
Liste des Films Rechercher
des titres de Films Suite...
Nous sommes le 12-02-2025 et il est 17:08
Channel - YouTube Playlist - YouTube Channel - Dailymotion Playlist - Dailymotion
Les
titres, les compositeurs et les interprètes de tous les clips numérotés
de 1 à 119
"Translation" "Commandes de Google"
Un
extrait vidéo de ce film Nuages
de mots-clés
Les
liens et les images du tableau ci-dessous s'ouvrent dans une nouvelle fenêtre
(sauf l'affiche du film qui vous dirige vers un extrait vidéo)
Les Canons de Batasi (Guns at Batasi) ![]() ![]() ![]() Les Canons de Batasi (1964 - Guns at Batasi) Générique Technique : Réalisation : John Guillermin (1964) Scénario : Robert Hollis Adaptation : Leo Marks, Marshall Pugh Scènes additionnelles : C.M.Pennington-Richards D'après le roman : " Siege at Battersea " de Robert Hollis Directeur de la photographie : Douglas Slocombe Musique : John Addison Production : George H.Brown Distribution : 20th Century-Fox Durée : 103 minutes Noir et Blanc Version Originale sous-titrée Générique Artistique : Le major Lauderdale : Richard Attenborough Le lieutenant-colonel John Deal : Jack Hawkins Miss Barker-Wise : Dame Flora Robson Le soldat Charlie Wilkes : John Leyton Karen Ericson : Mia Farrow Sir William Fletcher : Cecil Parker Le lieutenant Boniface : Errol John Le capitaine Abraham : Earl Cameron Le sergent Ben Parkin : Percy Herbert L'histoire complète : Une révolution vient d'éclater dans la petite république indépendante de Batasi, où est installé un camp militaire britannique. Son commandant, le lieutenant-colonel Deal, reçoit l'ordre de ne pas intervenir et de transférer le commandement de son régiment anglo-africain au capitaine Abraham, natif des lieux. Mais, tandis qu'il se rend dans la capitale chez le résident britannique, sir William Fletcher, le lieutenant Boniface s'empare de la base au nom des rebelles et arrête le capitaine Abraham. L'aéroport étant fermé, le soldat Wilkes et une employée suédoise des Nations-Unies, Karen Ericson, bientôt rejoints par miss Barker-Wise, membre du Parlement en tournée d'inspection dans le pays, se réfugient au mess des sous-officiers du camp où ils sont les hôtes d'un vieux militaire de carrière autoritaire et rigide, le sergent-major Lauderdale, et de ses hommes. Le capitaine Abraham, qui a réussi à fausser compagnie à ses gardes, se cache à son tour dans le mess, grièvement blessé. Bien décidé à ne pas céder aux exigences des rebelles et à soutenir un siège s'il le faut, le major Lauderdale conduit une expédition jusqu'à l'arsenal pour s'emparer d'armes et de munitions. Malgré les supplications de miss Barker-Wise, qui connaît bien Boniface et assure que c'est un homme loyal, Lauderdale refuse de laisser partir Abraham, qui a demandé sa protection. Boniface menace de détruire le mess. Au petit matin, avec l'aide de Wilkes, Lauderdale réussit à faire sauter les canons qui menaçaient le bâtiment, au moment où le colonel Deal, de retour de la capitale, annonce que les autorités britanniques ont reconnu le nouveau gouvernement. À la demande de Boniface, fraîchement promu dans la nouvelle administration, le major Lauderdale sera expulsé de Batasi. Anecdote : Le film fut fort mal accueilli en France lors de sa sortie en mars 1965 pour ses relents de colonialisme. " Étrange film où s'enchevêtrent les thèmes de l'émancipation des colonies africaines et ceux du néo-colonialisme le plus retors : film sarcastique et déplaisant mais qui manifeste une amère lucidité ", écrivait-on dans "Cinéma 65". " Un film à la fois odieux et fascinant (...) œuvre raciste et néo-colonialiste qui ne manque pas de vigueur et surtout de cynisme ", constatait pour sa part le critique de la " Saison 1966". Seul François Guérif osa le défendre, deux ans plus tard, en écrivant que le cinéaste John Guillermin était traité de réactionnaire à partir du raisonnement suivant : "Si le personnage principal d'un film est un imbécile, le film est lui-même imbécile. Le metteur en scène a deux possibilités : une critique facile, fort chargée, qui lui blanchit les mains. Ou une critique moins aisée, plus subtile, qui demande au spectateur de prendre lui-même parti. C'est alors qu'il court des risques. Pour moi, il n'y a pas d'ambiguïté; le personnage de Richard Attenborough, soldat de plomb qui ne connaît que le règlement, tyran de parade, est un imbécile. Le seul acte indépendant qu'il commette est ridicule, et le fait sanctionner par ses supérieurs. " (in "Positif" n° 99, novembre 1968). Les Canons de Batasi ouvrit à John Guillermin les portes d'Hollywood. |
Un extrait Vidéo Ouvrir le lien Hypertexte
Enregistrement : DVD.44.D.