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Nuages
de mots-clés
Réalisateur |
Stanley KUBRICK |
Année |
1975 |
Nationalité |
|
Genre |
Grand Spectacle |
Durée |
3H07 |
Acteurs principaux |
Marisa BERENSON, Steven BERKOFF, Gay HAMILTON, Marie KEAN, Hardy KRUGER, Patrick MAGEE, Murray MELVIN, Ryan O'NEAL, Leon VITALI |
Les acteurs:
Redmond Barry / Barry Lyndon |
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Lady Lyndon |
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le chevalier de Balibari |
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le capitaine Potzdorf |
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Lord Ludd |
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Lord Bullingdon |
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le révérend Samuel Runt |
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Nora Brady |
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Lord Wendover |
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le capitaine Quin |
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Graham |
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l'arbitre du duel |
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Lord Hallam |
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Scénariste |
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Producteur |
Hawk Films, Grande-Bretagne Polaris Productions, Grande-Bretagne Peregrine, Grande-Bretagne |
Compositeur |
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1er assistant réalisateur |
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Directeur de la photographie |
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Monteur |
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Chef décorateur |
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Producteur exécutif |
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Producteur associé |
|
D'après l'œuvre de |
|
Distribution |
Warner Bros. France, France |
Critiques Spectateurs :
Unique, Plastique, Classique, Sarcastique et Tragique : Barry Lyndon serait-il le plus beau des films de Kubrick ? Ryan O'Neal est Redmond Barry, de la fin de son adolescence jusqu'à la maturité ; physique avantageux, costume un peu râpé, origine : petite noblesse déchue du fin fond de l'Irlande du XVIIIème siècle. Personnage fascinant, captivant, unique. Non pas un de ces héros traditionnels, qui attirent vivas et holas des petits comme des grands, héroïques, dont la grandeur d'âme n'a d'égale que la générosité. Non, Redmond Barry est un homme ordinaire, des qualités bien sûr, mais aussi moult défauts. Ses aventures sont autant de leçons, oui, mais les circonstances qui vont forger son parcours et sa personnalité ne sont pas autant de marches vers la sérénité, loin s'en faut, elles vont plutôt lui apprendre le mensonge et la duplicité. Redmond subit son existence, saisit au vol les opportunités comme il le peut, entre des jeux de pouvoirs qui le dépassent. Il va s'élever socialement, mais à la manière d'un parvenu, pas d'un héros. C'est en cela qu'il est un personnage unique, dans sa médiocrité, ses faiblesses ; il nous ressemble, parfois menteur, parfois sincère, aveuglé par la douleur ou par sa chance. Il tente de se faire une place au soleil, c'est tout. Ce type de caractère existe ailleurs dans le cinéma, mais rarement en tête d'affiche, plutôt comme second rôle ou plus souvent comme méchant de service, comme l'exemple à ne pas suivre, les enfants. Kubrick a donc l'audace de nous faire partager toute une vie avec Barry, un être humain finalement.
C'est un ballet très prenant, une musique qui m'a marqué à vie (comprenez par là que la bande son est en boucle, mais elle est de grande qualité). Barry Lyndon est un film noble et intelligent.
Barry Lyndon est LE film de MONSIEUR Kubrick. Dans une filmographie plus ou moins dérangeante, plus ou moins politisée, Kubrick fait partager ses thèmes au plus grand nombre: absurdité de la guerre (la scène où les soldats britanniques continuent à avancer pendant que leurs collègues tombent comme des mouches est impressionnante!), perversion de l'individu qui, au départ idéaliste et romantique, devient corrompu et libertin... De plus, le film est hallucinant de réalisme: les éclairages à la bougie, les décors baroques somptueux nous plongent littéralement dans le XVIIIe siècle Britannique. Sans parler d'une bande son, où la Sarabande de Haendel restera définitivement associé aux scènes de duel, qui est le meilleur arrangement de musique classique pour un film d'un très grand connaisseur. Enfin, la distribution, pourtant composée d'illustres inconnus (excepté Hardy Kruger), fait un sans-faute.
Que dire sur ce film qui n'ait déjà été maintes et maintes fois dit? Je ne peux pas en rajouter, car je ne veux pas verser dans la surenchère, ce qui serait préjudiciable pour cette oeuvre incontournable qu'est "Barry Lyndon". J'affirme sans aucune exagération qu'il faut le voir pour le croire! Voilà le genre de film qu'on aimerait voir plus souvent dans les salles obscures. "Barry Lyndon" n'est pas un film prétentieux, n'en rajoute pas, c'est simplement un film qui fait "vrai". Ce n'est toutefois pas un film social. En effet, la musique, dont l'absence est souvent préférable pour rendre l'action plus "vraie" et crue ou pour ne pas en rajouter, est ici un acteur à part entière, car sans elle on ne pourrait point apprécier la dimension tragique des personnages. Loin de décrédibiliser l'histoire ou de rajouter encore une couche, la musique la rend plus réaliste en nous faisant pénétrer dans la mécanique sentimentale des protagonistes. Il y aurait encore tant à dire, mais mieux vaut s'arrêter, et laisser découvrir l'ineffable "Barry Lyndon", oeuvre majeure de la fin du siècle dernier, mais qui reste malgré tout indéfinissable.
Musique:
The
Chieftains |
Première Partie : L'ascension.
"
Par quels moyens Redmond Barry obtint le titre de Barry Lyndon. "
Épisode 1 : Adolescence de Barry Lyndon.
Nous apprenons rapidement la mort du père de Barry et le digne veuvage de sa mère. Nous le retrouvons adolescent, et suivons les démêlés de son premier amour. Il aime Nora Brady, sa cousine, qui lui préfère le capitaine anglais John Quin. Le jour des fiançailles de sa cousine, jaloux, Redmond jette son verre au visage de John Quin. Un duel au pistolet a lieu (le sympathique capitaine Grogan est son témoin), et Redmond, vainqueur et persuadé d'avoir tué Quin, doit s'enfuir.
Épisode 2 : Apprentissage de la rigueur militaire.
Après avoir rencontré sur sa route le capitaine Feeney, un bandit de grand chemin qui lui a tout dérobé sauf ses bottes, Barry n'a plus qu'à s'engager dans l'armée pour ne pas mourir de faim. Il se retrouve donc dans l'armée britannique. Il combat un certain Toole dans un combat de boxe à mains nues, et après sa victoire est porté en triomphe. Il retrouve Grogan qui lui avoue la supercherie du duel et le mariage de Nora avec Quin. Plus tard, au cours d'un bataille rangée contre les Français, Grogan meurt. Barry déserte alors l'armée.
Épisode 3 : Changements de camp.
Après avoir passé quelques jours chez Lischen, une jeune prussienne qui l'a accueilli chez elle, Barry reprend sa route et croise le capitaine prussien Potzdorf. Celui-ci ne tarde pas à découvrir que Redmond est un déserteur. Il l'arrête et lui propose le choix entre servir l'armée prussienne (alliée) ou être livré aux autorités britanniques. Barry n'hésite pas. Au cours d'un siège relativement violent, Barry sauve la vie de Potzdorf. Récompensé pour sa bravoure, il rencontre le ministre de la police, qui lui confie une mission secrète : surveiller le Chevalier de Balibari. Mais le Chevalier de Balibari est un Irlandais, et Redmond lui avoue le subterfuge. Il devient le complice de Balibari et joue donc double jeu. A la suite d'une partie de cartes truquée (Barry aide le Chevalier en lui donnant des informations sur le jeu de l'adversaire), Balibari est sommé de quitter la Prusse. Déguisé en Balibari, c'est Barry qui s'échappe. Il retrouvera le Chevalier hors de Prusse, et ils parcourront l'Europe en joueurs professionnels. Ils arrivent finalement à Spa. Barry remarque bientôt une très belle jeune femme mariée à un vieux Lord : Lady Lyndon. Au cours d'une partie de cartes, ils ne peuvent détacher les yeux l'un de l'autre. Elle est séduite. Barry devra alors supporter une altercation avec Lord Lyndon au cours de laquelle celui-ci mourra.
" Qui contient un récit des
malheurs qui s'abattirent sur Barry Lyndon. "
Episode 4 : Infidélités.
Redmond Barry se marie et devient donc Barry Lyndon, époux de Lady Lyndon et père adoptif de Lord Bullingdon (fils de Lord Lyndon et de Lady Lyndon). Lady Lyndon lui donne un enfant : Bryan. Mais très vite, Lady Lyndon ne représente plus rien aux yeux de Redmond, qui la trompe, la délaisse, et lui conseille de rester au château à s'occuper de leurs enfants. Lady Lyndon, accompagnée de Lord Bullingdon, le surprend embrassant une nourrice de Bryan, et sombre dans la mélancolie. Les relations avec Lord Bullingdon sont très tendues, et Barry va même jusqu'à lui administrer six coups de badine à cause d'un refus de l'enfant de l'embrasser.
Episode 5 : Déboires parentaux.
Sept années s'écoulent. On fête les huit ans de Bryan. Bullingdon est devenu un adolescent. Barry commence à rechercher la compagnie de la très haute aristocratie, côtoie des Lords, organise des fêtes, rencontre le Roi George, en un mot : souhaite accéder à la pairie. Un jour Bullingdon administre une correction à Bryan. Surpris par Barry, c'est alors à son tour de recevoir six coups de badine. Bullingdon lui jure de le tuer. Alors que Lady Lyndon donne un concert privé, Bullingdon fait irruption avec Bryan et provoque un scandale. Il attaque (verbalement) sa mère et insulte Barry. Lady Lyndon sort en larmes, et Barry se jette sur Bullingdon pour l'étrangler. A la suite de cet incident, Bullingdon quitte le château, et Barry devient un paria. Il se consacre totalement à son fils, à qui il offre un cheval. Mais le jeune Bryan a un accident et meurt quelques jours plus tard. Meurtri de douleur, Barry s'enfonce un peu plus dans l'alcoolisme, Lady Lyndon dans la bigoterie. Elle tente de mettre fin à ses jours.
Episode 6 : La chute.
Apprenant la tentative de suicide de sa mère, Bullingdon revient défier son beau-père en duel. Le duel a lieu dans une grange. Malade de peur, Bullingdon manque son coup. Barry, sans frémir, et avec une grande élégance, tire à terre sans viser son adversaire. Mais Bullingdon, offensé, exige de poursuivre le duel. C'est à lui de tirer : il touche Barry à la jambe. Barry devra être amputé peu après. Il lui est ordonné de repartir pour l'Irlande, de tout abandonner à Bullingdon et à Lady Lyndon, qu'il ne reverra jamais. Redmond Barry Lyndon part donc. Plus tard, Lady Lyndon signe un billet au nom de Barry Lyndon, une rente annuelle de 500 livres. On notera avec intérêt que le film s'achève en ... 1789, une date prémonitoire qui annonce des temps nouveaux et de bien grands changements !
Synopsis
L'Irlande au XVIIIe siècle. Ambitieux, mais naïf, le jeune Barry est bien décidé à s'élever dans l'échelle sociale. Il se voit contraint de fuir la justice de son pays après s'être battu en duel. Il s'enrôle alors dans l'armée britannique mais déserte à la première bataille. Les Prussiens le font prisonnier et le contraignent à servir sous leur drapeau. Apprenant les usages du monde, Barry s'introduit dans la brillante société européenne. Il devient espion, tricheur, connaît des succès auprès des femmes et chasse de son cœur tout romantisme. Il assure son avenir en épousant une jeune femme d'une grande beauté, veuve et fort riche : la comtesse de Lyndon. Ce mariage, qui lui apporte un fils et une fortune considérable, le conduit cependant à sa perte. Il trompe sa femme et s'attire l'inimitié de son beau-fils, Lord Bullingdon. Après la mort de son propre fils, il s'éloigne de plus en plus de son épouse qui tente de se suicider. Blessé par Bullingdon au cours d'un duel, Barry doit quitter l'Angleterre.
À propos du film
Barry Lyndon a demandé à Stanley Kubrick trois
ans de travail. Il lui a fallu six mois de recherches avec Ken Adam (qui fut
le décorateur des James Bond) pour trouver et aménager, d'Irlande
en Allemagne, les lieux de tournage. La confection des costumes, copiés
sur des vêtements du XVIIIe siècle provenant de collections privées,
demanda à elle seule dix-huit mois. Stanley Kubrick tenait à
restituer exactement les éclairages des intérieurs de l'époque
sans ajouter l'appoint de lumières artificielles : or, la lueur des
chandeliers est trop faible pour impressionner la plus sensible des pellicules
en couleur. Il put trouver un objectif presque aussi sensible qu'un œil,
mis au point pour les études de la NASA et, autour, il fit construire
une caméra. Les nombreuses scènes éclairées à
la bougie sont donc la reproduction exacte des ambiances "aux chandelles".
Stanley Kubrick
Résumé express
Pour faire son chemin dans le monde corrompu du 18ème siècle anglais, un brave garçon, pauvre, tendre et loyal devient une redoutable crapule. Amant puis époux d'une jeune femme fort riche et non moins titrée, il conquiert la gloire, l'amour et l'argent... mais pour lui, bien dure sera la chute.
Scénario : Stanley Kubrick, d'après le roman de William Makepeace Thackeray
Barry Lyndon : |
Sortie(s): 08 septembre 1976 (France) 18 décembre 1975 (États-Unis) |
L'histoire :
L'Irlande au XVIIIème siècle. Redmond Barry, après la mort en duel de son père, est élevé par sa mère. Il tombe amoureux de sa cousine Nora Brady, provoque en duel son soupirant, un officier anglais, le capitaine Quin et s'enfuit, croyant l'avoir tué.
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