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Titre du Film: L'éternel retour
Réalisateur |
Jean DELANNOY |
Année |
1943 |
Nationalité |
|
Genre |
Drame |
Durée |
1H47 |
Acteurs principaux |
Yvonne DE BRAY, Jean MARAIS, Jean MURAT, Madeleine SOLOGNE |
Réalisateur |
|
Acteur |
Jean Marais (Patrice), Madeleine Sologne (Nathalie la blonde), Jean Murat (Marc), Yvonne de Bray (Gertrude Frossin), Jean d'Yd (Amédée Frossin), Piéral (Achille Frossin), Junie Astor (Nathalie la brune), Roland Toutain (Lionel) |
Scénario |
Jean Cocteau |
Musique |
Georges Auric |
Le jeune et beau Patrice décide de chercher une épouse pour son oncle Marc, qui se morfond dans son château de légende. Il la trouve en la personne de Nathalie, tendre souffre-douleur d'un colosse brutal, Morholt. Las ! Un philtre d'amour, avalé par mégarde, unit à jamais les deux jeunes gens, à l'insu de l'oncle. Leur amour éveille la jalousie de trois domestiques et déplaît fortement à Marc qui prend ombrage de la soudaine complicité des deux amoureux... |
Synopsis :
Patrice |
Jean Marais |
Gertrude Frossin |
Yvonne de Bray |
Nathalie la blonde |
Madeleine Sologne |
Marc |
Jean Murat |
Achille Frossin |
Piéral |
Scénariste |
Jean Cocteau |
Producteur |
|
Production |
Films André Paulvé, France |
Compositeur |
|
Directeur de la photographie |
|
Chef décorateur |
|
Chef monteur |
|
Lettre de Jean Cocteau à Jean-Pierre Rosnay
Né le 5 juillet 1889 à Maisons-Laffitte, Jean Cocteau prit place dans une famille bourgeoise, entouré de son père, rentier, de sa mère et de leur deux autres enfants, Marthe (12 ans) et Paul (8 ans).
Il passa son enfance au grè des réceptions musicales que donna son grand-père. Ce dernier, d'une grande culture artistique, n'avait de cesse d'initier le petit cancre de la famille à la musique. Cette période probatoire influencera considérablement sa perception créatrice tout au long de sa vie. Elle s'affirmera notamment dans la formation, par Cocteau lui-même, du Groupe des Six - formé des compositeurs Arthur Honegger, Germaine Tailleferre, Georges Auric, Louis Durey, Darius Milhaud et Francis Poulenc - dont l'esthétisme particulier aura pour usage le rejet du formel, l'utilisation du banal et du vulgaire... En un mot un antiwagnérisme. Leur exemple le plus insolite : le ballet des "Mariés de la Tour Eiffel", écrit par Jean Cocteau. Une bouffonnerie déroutante !
Très jeune, Jean va vite découvrir les funestes nuances de la vie. Son père Georges Cocteau se suicide dans son lit. Jean n'a alors que 9 ans, mais la mort, le suicide et le sang vont à tout jamais préfigurer ses œuvres ("Le Sang d'un Poète", "L'Aigle à Deux Têtes", "Le Testament d'Orphée"...). Le tragique restera l'une des préoccupations majeures du poète, une exorcisation jamais comblée.
Sa mère élèvera donc seule cet être difficile qui refuse de grandir, trouvant dans les états pathologique un moyen de se faire choyer.
Aidée par une gouvernante allemande, Cocteau découvrit, très tôt, le monde du spectacle et de l'illusion. Il s'émerveilla face à la beauté du cirque, face au prestige des divertissements du Châtelet ("Le Tour du Monde en 80 jours"). Entre trois grippes et deux utopies, il passera des heures, dans sa chambre, à improviser des spectacles autour de son petit théâtre miniature, où il réinvente les décors. La maladie a ses jeux, dont la quintessence ranime l'âme créatrice...
1889 |
Jean Cocteau est né à Maisons-Laffitte, le 5 juillet 1889. Il est issu d'une famille de la grande bourgeoisie parisienne. Il est le fils de Georges Cocteau, Avocat devenu rentier et d'Eugénie Lecomte. Il a une sœur et un frère : Marthe (12 ans) et Paul (8 ans). |
1898 |
Il est âgé de neuf ans lorsque son père se suicide dans son lit d'une balle dans la tête. « Le tragique restera l'une des préoccupations majeures du poète, une exorcisation jamais comblée. » Sa mère élèvera seule ce garçon complexe qui refuse de grandir, trouvant dans les états maladifs un moyen de se faire choyer. Cocteau passe son enfance au grès des réceptions musicales que donne son grand-père, un être d'une grande culture artistique. Le grand-père de Jean Cocteau n'a de cesse d'initier le petit nonchalant de la famille à la musique. Cette initiation musicale influencera beaucoup sa perception créatrice tout au long de sa vie. |
1904 |
Il est renvoyé pour indiscipline du Lycée Condorcet. Il ne gardera qu ‘un souvenir marquant de ce lycée : celui de la révélation de la beauté masculine en la personne de son camarade, Dargelos, le "premier symbole des forces sauvages qui nous habitent". Dargelos a inspiré l'un des personnages du Livre Blanc et des Enfants Terribles. |
1908 |
En 1908, Cocteau, alors âgé de 19 ans, fait la connaissance du célèbre tragédien Edouard de Max. Ce dernier, fasciné par l'écriture de Jean Cocteau , décide d'organiser une Matinée poétique au Théâtre Fémina, sur les Champs-Elysées, en l'honneur de Cocteau. On y fait la lecture de ses poèmes et Édouard de Max n'hésite pas à la présenter comme un jeune prodige. |
1909 |
Jean Cocteau fait la connaissance de Marcel Proust et de la Comtesse de Noailles. Il se promènera dans les rues de Paris, affichant un style très provoquant. Il publie un premier recueil poétique, La Lampe d'Aladin. |
1912 |
Il rencontre Serge de Diaghilev, mécène et directeur de troupe Russe. Cette rencontre a une influence déterminante : « Le premier son de cloche, qui ne se terminera qu'avec ma mort, me fut sonné par Diaghilev, une nuit, place de la Concorde. Nous rentrions de souper après le spectacle. Nijinsky boudait, à son habitude. Il marchait devant nous. Diaghilev s'amusait de mes ridicules. Comme je l'interrogeais sur sa réserve (j'étais habitué aux éloges), il s'arrêta, ajusta son monocle et me dit : « Étonne-moi » ». Cette discussion sert de révélateur : Cocteau décide alors d'arrêter son existence superficielle : « Cette phrase me sauva d'une carrière de brio. Je devinai vite qu'on n'étonne pas un Diaghilev. De cette minute, je décidai de mourir et de revivre. Le travail fut long et atroce. Cette rupture, je la dois comme tant d'autres à cet ogre ». Cocteau fait la connaissance de Stravinsky Représentation de Le Dieu bleu |
1913 |
la création par Diaghilev du Sacre du Printemps de Stravinski est pour lui une véritable révélation, qui influencera son œuvre. Mais Le Sacre du Printemps est mal reçu du grand public. Cocteau est très affecté par l'échec de son ami |
1914 |
Cocteau est ambulancier en Champagne, puis en Flandre. |
1915 |
Cocteau rencontre Satie, Picasso, Braque, Derain, Modigliani… |
1916 |
Cocteau participe aux manifestation artistiques et poétiques avec Max Jacob, Reverdy, Apollinaire, Cendrars… |
1917 |
Première du ballet réaliste Parade avec Diaghilev d'après une chorégraphie de Léonide Massine, sur une musique d'Erik Satie et dans des décors de Picasso. |
1919 |
Cocteau publie les poèmes du Cap de Bonne espérance , L'Ode à Picasso, Le Coq et l'Arlequin, Le Potomak. Il rencontre Raymond Radiguet |
1920 |
Cocteau crée Le Bœuf sur le Toit, un spectacle burlesque sur une musique de Milhaud. Les décors sont signés Raoul Dufy. Il fonde avec Raymond Radiguet la revue Le Coq |
1921 |
Création du Gendarme incompris en collaboration avec Radiguet Création de Les Mariés de la tour Eiffel, dont la première est troublée par les dadaïstes |
1922 |
Cocteau publie Vocabulaire Il présente Antigone « contraction » de la pièce de Sophocle . La musique est signée Honegger, et les costumes , Chanel. |
1923 |
Cocteau publie Thomas l'imposteur , Le Grand Ecart, Plain-Chant Mort subite de Radiguet le 20 décembre qui affecte terriblement Cocteau. Il déclare l'année suivante à l'abbé Mugnier : « je n'écrirai plus ». Désespéré Cocteau commence à s'adonner à l'opium. Malgré de nombreuses cures de désintoxication, il consommera de la drogue jusqu'à la fin de sa vie. |
1925 |
Cocteau publie l'Ange Heurtebise et les autoportraits du Mystère de Jean L'oiseleur |
1926 |
Première d'Orphée le 15 juin |
1927 |
Représentation du Pauvre Matelot et d'Œdipus Rex |
1928 |
Cocteau fait publier sans nom d'auteur ni d'éditeur, Le Livre blanc |
1929 |
Publication des Enfants terribles |
1930 |
La Voix humaine est jouée à la Comédie française. Cocteau réalise son premier film : Le sang d'un poète. Cocteau est hospitalisé pendant 40 jours en raison d'une typhoïde. |
1932 |
La Machine Infernale est mise en scène par Louis Jouvet |
1934 |
Cocteau publie Mythologie |
1935 |
Cocteau part comme journaliste pour Paris Soir réaliser la fiction de Jules Verne : « Le Tour du Monde en 80 jours ». Il effectue ce voyage avec Marcel Khill, son secrétaire particulier. |
1937 |
Il rencontre Jean Marais. Représentation d'Œdipe Roi avec Jean Marais puis des Chevaliers de la Table Ronde Cocteau est élu à l'Académie Mallarmé. |
1939 |
Cocteau est condamné à une forte amende pour usage de stupéfiants. |
1940 |
Première des Monstres Sacrés : en première partie , Le Bel Indifférent avec Edith Piaf |
1941 |
Les représentations de La Machine à écrire et des Parents Terribles sont interdites |
1942 |
Cocteau témoigne en faveur de Jean Genet en cour d'Assises. |
1943 |
Mort de sa mère en janvier. Triomphe d'Antigone à
l'Opéra de Paris sur une musique d'Arthur Honneger |
1945 |
Tournage de La Belle et la Bête |
1947 |
Cocteau achète la Maison de Bailli à Milly La Forêt. |
1949 |
Jean-Pierre Melville réalise Les Parents terribles |
1950 |
Orphée |
1952 |
Publication du chiffre sept (essai) , du journal d'un Inconnu ( autobiographique) et Bacchus (Théâtre) |
1953 |
Cocteau est président du Jury du Festival de Cannes |
1954 |
Cocteau est victime d'un infarctus du Myocarde. |
1955 |
Jean Cocteau fut élu à l'Académie française le 3 mars 1955 au fauteuil de Jérôme Tharaud, par 17 voix contre 11 à Jérôme Carcopino. Se présentait également un inconnu, le vicomte de Venel, qui rédigeait en vers de mirliton ses lettres de candidatures, renouvelées plus de trente fois. Reçu le 20 octobre 1955 par André Maurois, Cocteau décrivait la Coupole comme « quelque grotte sous-marine, une lumière quasi surnaturelle d'aquarium et sur des gradins en demi-cercle, quarante sirènes à queues vertes et à voix mélodieuses .» |
1959 |
Il écrit , à la suite d'une nouvelle crise cardiaque, Requiem, testament poétique. |
1960 |
Tournage du Testament d'Orphée monté grâce à l'aide financière de François Truffaut. |
1961 |
Mort de son frère Paul. |
1963 |
Cocteau meurt le 11 octobre 1963, peu après la mort de sa grande amie Edith Piaf. Sources : |
Madeleine Sologne
Biographie
Madeleine Vouillon est née en 1912 à la Ferté-Imbault dans le Loir-et-Cher. Elle pratique d'abord le métier de modiste, avant de se consacrer au théatre. Madeleine Sologne débute au Cinéma en incarnant une ouvrière dans La Vie est à nous de Jean Renoir en 1936. Elle jouera ensuite dans Raphaël le Tatoué de Christian-Jacque, Fièvres de Jean Delannoy en 1941, le loup des Malveneur, de Guillaume Radot (voir ci-dessous) en 1943. Mais c'est dans l'Eternel Retour de Jean Delannoy en 1943 sur un scénario de Jean Cocteau que Madeleine Sologne obtint son plus grand succès. Pour la jeunesse de l'époque, elle incarna avec Jean Marais le couple idéal. Les films suivants eurent moins de succès.
Elle est décédée en 1995 à Vierzon.
Biographie :
Né à Cherbourg, le 11 décembre 1913, Jean Alfred Villain Marais n'arrivait pas au bon moment. Sa mère, Rosalie, qui venait de perdre une fille, espérait en avoir une autre! L'ambiguïté commence... |
A la séparation de ses parents, Jean passe son enfance au Vésinet, aux côtés de sa mère et de son frère. Très tôt, il court les engagements Cinématographiques en tapant à la porte des maisons de production. Ce n'est pas sans culot qu'il se présente chez le réalisateur Marcel L'herbier pour obtenir son aide dans cette entreprise. Celui-ci le reçoit d'une manière équivoque... Choqué, le jeune homme s'esquive. |
C'est néanmoins sous la férule de ce grand réalisateur qu'il fait ses premières figurations... |
Jean Marais suit des cours d"art dramatique chez Charles Dullin lorsque, en 1937, il rencontre le poète-dramaturge Jean Cocteau. On a suffisamment écrit sur l'amour profond qui unira ces deux hommes pour qu'il ne soit pas nécessaire de s'y étendre davantage. L'intéressé lui-même s'est exprimé avec autant de franchise que de pudeur dans son autobiographie, "Histoires de ma vie". |
Le voici donc propulsé à l'avant de la scène... des théâtres parisiens (Britannicus, 1941), puisque Cocteau lui offre ses premiers grands rôles sur les planches: création des "Parents Terribles", de "l'Aigle à deux Têtes", etc... |
Le jeune homme ne manquait pas de courage, comme le prouve cette anecdote qui eut pu devenir un fait divers tragique: rencontrant le journaliste et collaborateur Alain Laubreaux, qui venait d'éreinter la pièce de Cocteau "La Machine à Ecrire" sans même l'avoir vue, il n'hésite pas à casser la figure à cet agent de la Gestapo! |
Mais la guerre continue... À la Libération, le jeune homme la termine dans la 2°DB du général Leclerc, ce qui lui vaudra la Croix de Guerre. |
Alternant les rôles "classiques" tant au théâtre qu'au Cinéma (Carmen, Eternel Retour, la Belle et la Bête, Ruy Blas ...), l'acteur devient l'une des principales personnalités du Cinéma français des années cinquante. Héros romantique (tournage de l'Aigle à Deux Têtes), puis dramatique (le Château de Verre, Le Guérisseur, etc), qu'est-ce qui pousse cet acteur efféminé vers les grands rôles d'action dont il se fera un spécialiste à partir de la fin de cette décennie. |
En effet, du Comte de Monte-Cristo au Bossu, du Capitaine Fracasse au Gentleman de Cocody, Jean Marais devient peu à peu un spécialiste des séquences difficiles, un acteur renommé pour exécuter lui-même ses cascades... Bref, un précurseur de Belmondo! |
Films de Cape et d'Epées ou aventures comico-policières - n'oublions pas la série des Fantômas - deviennent, pendant les années soixante, sa principale occupation cinématographique. Même le petit écran lui offre les rôles de "Joseph Balsamo" et "Robert Macaire"... |
Mais, les films de genre se tarissant avec le développement de la télévision, notre homme s'éloigne peu à peu du Cinéma pour se tourner vers des activités artistiques solitaires. Peintre et potier reconnu, installé à Vallauris (où il ouvre une galerie d'art), Jean Marais renoue avec l'une de ses premières passions, le dessin. |
Officier de la Légion d'Honneur, Jean Marais décède dans une clinique de Cannes, le 8-11-1998, des suites d'une complication pulmonaire. |
Il ne fut pas que l'homme d'un seul homme, comme on pourrait le croire. Très aimé de l'actrice Mila Parély, il faillit même l'épouser. Au début des années soixante, l'acteur avait adopté un enfant, Serge. |
Il a été marié à la comédienne Annabella
Sortie en salles en France : 13 octobre 1943
Première sortie mondiale : 1943
Affiche étrangère
Jean Marais et Madeleine Sologne
Année : 1943
Origine : France
Réalisation : Jean Delannoy
Scénario : Jean Cocteau
Directeur de la photographie : Roger Hubert
Musique : Georges Auric
Genre : Drame, Romance
Durée : 107 min.
· Jean Marais (Patrice)
· Madeleine Sologne (Nathalie la blonde)
· Jean Murat (Marc)
· Junie Astor (Nathalie la brune)
· Yvonne de Bray (Gertrude Frossin)
· Jean d'Yd (Amédée Frossin)
· Piéral (Achille Frossin)
· Alexandre Rignault (Morholt)
· Roland Toutain (Lionel)
L'adaptation
moderne du mythe de Tristan
et Yseult, Tristan est devenu Patrice, Yseult, Nathalie.
Filtre d'amour, mort, haine, jalousie, Patrice et Nathalie revivent
l'histoire d'amour éternel.
Veuf depuis des lustres, Marc, riche propriétaire terrien à la cinquantaine élégante, partage son château avec le beau Patrice, son gentil neveu orphelin, âgé de 24 ans, ainsi qu'avec Gertrude Frossin, sa belle-sœur, une acariâtre rombière flanquée d'un mari insipide et d'un fils nain baptisé Achille. Un soir, après que le garnement aigri ait tué le chien du jardinier, Marc a une prise de bec avec sa belle-sœur, qui absout toutes les bêtises de son fils, sous le prétexte de son handicap. Le maître de maison confie alors à Patrice qu'il supporte de moins en moins les élucubrations des Frossin. Pour remonter le moral de son oncle, Patrice se propose de lui trouver une épouse jeune et douce. C'est ainsi que le lendemain, lorsqu'il croise les yeux mélancoliques d'une séduisante Norvégienne, Patrice décide de jeter son dévolu sur elle.
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Enregistrement : DVD.16.S.