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Titre du Film: À bout de souffle
Synopsis
Après avoir volé une voiture à Marseille,
Michel tue le motard qui le poursuivait. À Paris,
il se cache chez Patricia, une américaine vendeuse de journaux. Malgré
l'amour qu'elle porte à Michel, elle le dénonce à la
police pour garder son passeport et pouvoir continuer à vivre en France.
Réalisateur |
|
Année |
|
Nationalité |
|
Genre |
Drame Psychologique |
Durée |
1H29 |
Acteurs principaux |
Jean-Paul Belmondo, Daniel BOULANGER, Roger HANIN, Jean SEBERG |
Scénario
et dialogues: Jean-Luc
Godard, d'après un sujet de François
Truffaut
Directeur de la photographie : Raoul
Coutard
Montage : Cécile
Decugis
Conseiller technique : Claude
Chabrol
Musique : Martial
Solal
Jean-Paul
Belmondo |
(Michel Poiccard) |
Réalisateur |
|
Scénariste |
|
Producteur |
Georges Beauregard (Georges de Beauregard) |
Société Nouvelle de Cinématographie (S.N.C.), France |
|
Imperia Films, France |
|
Distribution |
Les Acacias, France |
L'itinéraire d'un jeune délinquant qui, après avoir volé une voiture et tué un policier, est traqué par la police...
Michel Poiccard (Jean-Paul
Belmondo), petit voyou glandeur, remonte de Marseille
vers Paris
dans une voiture volée.
À la suite d'un
contrôle pour excès de vitesse, il abat le motard grâce à un pistolet trouvé
dans la boîte à gants...
À Paris, il retrouve celle dont il est amoureux, la jeune Américaine
Patricia (Jean
Seberg) qui vend le "New
York Herald Tribune" sur les Champs-Elysées
et attend de s'inscrire à la Sorbonne.
Il rêve de partir à Rome
avec elle. En attendant, il continue de glander, de fumer, de lire "France-Soir"
et de demander à Patricia de re-coucher avec lui.
Mais la police est à ses trousses. Patricia le dénonce,"pour
le forcer à partir"...
La mort surviendra au bout d'une rue étroite, sans fin. Michel, touché d'une
balle au bas du dos, court, court, court avant de s'écrouler. Et Patricia
court, court, court vers lui. Il lui fait ses trois "têtes",
ses trois grimaces favorites. Elle recueille ses derniers mots, "Tu
es dégueulasse" et hérite de son geste fétiche, le pouce en aller-retour
le long des lèvres, qu'elle nous sert une première et dernière fois, le
regard dur, ses yeux bien plantés dans les nôtres.
C'est beau...
Oui, À
bout de souffle n'a rien perdu de son éclat, ce qui reste le propre
de tout vrai joyau.
Ce film est demeuré tel qu'au premier jour, un miracle, électrisé par un
de ces couples de légende que le Cinéma aime à nous réserver parfois:
Jean-Paul Belmondo,
sa clope aux lèvres, son chapeau à la Bogart
de guingois, sa gouaille, son je-m'en-foutisme, sa muflerie, sa lippe, ses
moues-pour-rire, son doigt passé sur les lèvres, comme Humphrey,
encore lui...
La délicieuse Jean
Seberg, jeune Américaine de 21 ans, ses cheveux coupés courts,
très courts, ses deux tenues au choix, t-shirt moulant (" Pourquoi
ne portes-tu jamais de soutien-gorge ?" lui demande Michel /Bébel),
pantalon-corsaire, ballerines, ou robe évasée à rayures...
Le voyou et la sirène...
Ils resteront uniques, on les aime tant !
Dès son premier film, Godard nous montre bien qu'il ne faut pas compter sur lui pour le réalisme. Voyez Patricia / Jean Seberg déambuler sur les Champs-Elysées, ses journaux sous le bras. Et que se passe-t-il ? Rien ! Alors qu'en "vrai", dans la vie sérieuse, tous les hommes se précipiteraient pour lui acheter ses exemplaires du "New York Herald Tribune" ! Qu'importe qu'on soit à Paris et que le journal soit américain. Vous l'avez entendue scander à la cantonade le nom de son journal, de son accent si craquant ? Oui, en vrai, les hommes se rueraient rien que pour la voir leur sourire... Mais le seul qui lui en prenne un est l'homme qui l'aime (Michel), avant de le lui rendre une minute plus tard "parce qu'il n'y a pas d'horoscope"...
Il y deux extraits qui se suivent.
Un extrait Vidéo Ouvrir le lien Hypertexte
Enregistrement: VHS.10.L.