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Toi, le venin Toi, le venin est un film franco-italien réalisé par Robert Hossein et sorti en 1959. Distribution : Marina Vlady : Éva Lecain Robert Hossein : Pierre Menda Odile Versois : Hélène Lecain Henri Crémieux : le médecin Héléna Manson : Amélie Charles Blavette : l’inspecteur de police Henri Arius : Titin Pascal Mazzotti : l’homme de la discothèque Lucien Callamand : Lucien, le jardinier Isola Blondie Jean Combal Paul Coppel Synopsis: Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue. Une nuit d’été, Pierre Menda, un homme qui paraît être à la dérive et marche sans but le long d’une petite route de la Côte d'Azur, est accosté par un luxueux cabriolet blanc. Sans un mot, sa conductrice, une femme dont il ne distingue que la longue chevelure blonde, l’invite à monter, se dénude et se donne à lui. Mais, après qu’il a été abruptement invité à quitter le véhicule, sa conductrice, après avoir tenté de l’écraser, réussit à prendre la fuite. Grâce au numéro d’immatriculation qu’il a eu le temps de relever, Pierre trouve le domicile des propriétaires du véhicule, les Lecain. Mais il va de surprise en surprise : les occupants de la riche villa sont les sœurs Éva et Hélène Lecain, deux jeunes femmes aux longs cheveux blonds, presque jumelles… Éva, la cadette, se déplace en chaise roulante car elle a les jambes paralysées. Le trouble et le doute s’immiscent dans l’esprit de Pierre en même temps que s’installe une relation tripartite et que le mystère va grandissant… Fiche technique : Titre : Toi, le venin Titre italien : Nella notte cade il velo Réalisation : Robert Hossein d’après le roman de Frédéric Dard C'est toi le venin, 1957 (ISBN 2266046063) Scénario : Robert Hossein Dialogues : Robert Hossein Musique : André Hossein alias André Gosselain Directeur de la photographie : Robert Hossein Cadreur : Jacques Robin Assistants-réalisateur : Pierre Guilbaud, Olga Poliakoff alias Olga Varen Photographe de plateau : Robert Forster Décorateurs : Jean André, Jean Forestier, Eugène Roman Ingénieur du son : Jacques Lebreton Costumes : Pierre Balmain, Jacques Heim Maquilleur : Louis Bonnemaison Coiffeur : Roger Daudin Scripte : Sylvette Baudrot Monteur : Gilbert Natot Pays d’origine : France, Italie Producteur : Jules Borkon Producteur exécutif : Margot Capelier Directeur de production : Pierre Laurent Sociétés de production : Champs-Élysées Productions (France) Filmauro SRL (Italie) Distributeur d’origine : Pathé Consortium Cinéma Studios : Studios de la Victorine (Nice, Alpes-Maritimes) Date de tournage : 1958 Tournage extérieur : Nice et ses environs, Alpes-Maritimes Plage de Saint-Aygulf dans le Var Format : Noir et blanc — Son monophonique (Westrex Recording System) — 35 mm Genre : Film policier, drame Durée : 92 minutes Date de sortie : 27 mars 1959 en France 26 octobre 1960 aux États-Unis Public : Adultes Commentaire : Robert Hossein a su intelligemment utiliser la ressemblance de ses deux actrices, les sœurs Marina et Tania Poliakoff à la ville. Dans le film, ses partenaires sont respectivement Marina Vlady, son épouse de l’époque, et Odile Versois, sa belle-sœur. Également blondies pour la circonstance, les deux sœurs entretiennent savamment le mystère en jouant de leurs regards slaves qu’elles savent rendre énigmatiques à souhait (rivalisant avec le fameux « look » de Lauren Bacall) tandis qu’Hossein paraît en loser. Le noir et blanc et la partition musicale jazzy d’André Hossein contribuent à donner au film la tonalité sombre des œuvres cinématographiques policières anglo-saxonnes tirées des romans de Raymond Chandler ou de James Hadley Chase. On trouve encore, en assistante à la réalisation, une autre belle-sœur d’Hossein, Olga Poliakoff alias Olga Varen. Mais l’identité de cette histoire machiavélique signée Frédéric Dard reste bien française et même provençale avec l’intervention des « vedettes marseillaises », notamment Charles Blavette en policier et Henri Crémieux en médecin. Autour du film : Marina Vlady : « Assise au volant d’une grosse américaine, une femme, dont les longs cheveux blonds masquent le visage, drague, sur le bord de mer, en pleine nuit. La radio diffuse une musique lascive. Un homme marche au loin. Sitôt qu’elle l’a doublé, elle arrête le moteur, ouvre la portière. L’homme s’approche et, lorsqu’il se penche, la femme entrouvre son manteau de fourrure et se montre nue… Cette scène de Toi, le venin restera l’une des plus érotiques du cinéma d’alors ! Nous avons longuement discuté, ma sœur Odile et moi, pour savoir si nous accepterions d’apparaître dans cette tenue qui nous impliquait toutes les deux, l’intrigue du film reposant sur la ressemblance complète entre les deux sœurs : laquelle sortait la nuit pour se donner à des inconnus ? Odile, très pudique, était réticente, mais je finis par la convaincre. Montrer une femme en dessous, comme elle le proposait, aurait frisé le ridicule. Le succès populaire est venu confirmer les qualités de Robert Hossein comme réalisateur, acteur et surtout homme de spectacle. Il avait su réunir autour de nous une équipe soudée, conduite avec l’énergie dont il ne s’est jamais départi : un auteur formidable, Frédéric Dard, un opérateur hors-pair et ses assistants — Julliard, Robin, Diot, qui deviendront à leur tour des « grands » —, Jean André, décorateur, Aminolla Hossein, dit André Gosselin, compositeur, son propre père. Ce rôle ambigu et attrayant me donnait enfin la possibilité de renouer, après des années de personnages de « pimbêche », avec celui d’une vraie garce comme j’en avais interprété en Italie dans mon adolescence. La majorité des critiques et chroniqueurs de cinéma ne connaissaient pas grand-chose à ma carrière. Pour Robert aussi, j’étais une belle créature assez douée, sans plus. Toi, le venin fut le révélateur, malheureusement tardif, du type d’emploi qu’il aurait pu me confier ultérieurement dans ses films et ses spectacles. Le succès de Toi, le venin nous propulsait au faîte des listes des meilleurs scores en termes d’entrées. » C'est l'un des films préférés de la chanteuse Véronique Sanson qui, en souvenir, baptisa son album de 1988 : Moi le venin. |
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Enregistrement : DVD.36.U.